L. Mais l’autre lui fit de vifs reproches :
A. « Tu ne crains donc pas Dieu !
Tu es pourtant un condamné, toi aussi !
      Et puis, pour nous, c’est juste : après ce que nous avons fait, nous avons ce que nous méritons.
Mais lui, il n’a rien fait de mal. »
      L. Et il disait :
A. « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. »
      L. Jésus lui déclara :
X « Amen, je te le dis :
aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. »

      L. C’était déjà environ la sixième heure (c’est-à-dire : midi) ; l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure,
car le soleil s’était caché.
Le rideau du Sanctuaire se déchira par le milieu.
      Alors, Jésus poussa un grand cri :
X « Père, entre tes mains je remets mon esprit. »
      L. Et après avoir dit cela, il expira.

      (Ici on fléchit le genou et on s’arrête un instant)

      À la vue de ce qui s’était passé, le centurion rendit gloire à Dieu :
A. « Celui-ci était réellement un homme juste. »
      L. Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblés pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s’en retournaient en se frappant la poitrine.
Tous ses amis,      


ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la Galilée, se tenaient plus loin pour regarder.

– Acclamons la Parole de Dieu.


      – Acclamons la Parole de Dieu.

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Extrait du site : www.aelf.org

Association Épiscopale
Liturgique pour les pays Francophones